Avril BÉNARD : À ceux qui ont tout perdu
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Prix Brise-Lame 2024 de l’Encre Malouine (ville de Saint Malo).
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Prix Étudiants de la littérature de l’exil 2023 de Lille.
DESCRIPTION : Comment peut-on faire, en une heure, le bagage de toute une vie ? C’est la guerre ; des soldats ont l’ordre d’évacuer des civils qui doivent n’emporter qu’un seul sac. Il y a Manon et sa fille Jeanne, Paul, Marek, Shoresh, madame Dépalle, une famille nombreuse, deux âmes… Dans l’urgence des choix, le passé et le présent se mêlent, les êtres se révèlent, se montrent tels qu’ils sont. À quoi tient-on le plus ? Qu’est-ce qu’on ne peut abandonner ? Que veut-on transmettre ? Quel espoir peut encore briller ? Autant de questions qui traversent ce texte saisissant de par son intensité émotionnelle et sa force d’évocation. Un livre d’exode, d’aujourd’hui et de toujours, dans une langue à la fois concise et bouleversée.
AUTEUR : Avril Bénard est née en 1986. Après avoir publié dans différentes revues littéraires, elle signe ici son premier roman. Elle est aussi, depuis son enfance, l’une des égéries de la photographe Sarah Moon.
PRESSE :
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Cosmopolitan, par Mariette lévy,10 mars 2024.
« Un récit poétique, intemporel et universel. »
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Femme Actuelle, par David Lelait-Helot, 8 mars 2024.
« Dans ce premier roman, Avril Bénard fait vivre en direct cette heure folle où chaque habitant de l’immeuble trace sa fuite. »
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Sous le pavé la plume, Emporter l’Avril, par Martine Roffinella, 19 février 2024 (lien) :
« On avance dans cette petite merveille qu’est le livre d’Avril Bénard le cœur serré. Dès les premières pages, l’émotion d’entre les mots nous émiette. »
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Saisons de culture, par Ghislaine Lejard, 27 janvier 2024 (lien) :
« Avec une grande finesse d’analyse, l’auteure dresse un portrait de l’humanité avec ses faiblesses et ses grandeurs. »
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Le Figaro, Avril Bénard, la sauveuse d’histoires, par Isabelle Spaak, 10 janvier 2024 (lien) :
« Un roman bouleversant. »
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Le Soir, Une heure pour emporter une vie, par Alain Lallemand (n° de Samedi 30 et dimanche 31 décembre 2023) :
« Vous vous en relevez plus vivant, le cœur plein de soleil, orienté vers l’essentiel. »
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Le Nouvel Economiste, Quand la guerre révèle le sens de nos vies, par Marie-Madeleine Rigopoulos, 24 novembre 2023 (lien) :
« Cependant, derrière chaque objet il y a une histoire. Et c’est cette histoire que les personnages de ce bouleversant et singulier roman vont dérouler. »
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RCF, « Des livres et vous », par Laetitia de Traversay, 13 octobre 2023 (lien):
« Un roman qui nous met en empathie avec toutes les victimes de la guerre. »
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Journal Phusis, Une valise pour l’inconnu, par Sophie Carmona Castanie, 7 septembre 2023 (lien) :
« Dans ce premier roman, Avril Bénard décrit avec émotion et gravité les bouleversements de la vie, le désarroi devant l’urgence de prendre l’essentiel et le déchirement de devoir tout abandonner. »
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Madame Figaro, Un bagage pour l’exode, par Bernard Babkine, 16 juillet 2023 :
« L’espoir se niche dans de tout petits riens, et nous, qu’emporterions-nous ? »
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Revue des Deux Mondes, par Isabelle Lortholary (n° de juillet/août 2023) :
« Dans une langue directe et concise, écrite comme on se tient intranquille dans l’urgence, les portraits sont saisissants. Ils résument des vies entières. »
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Addict Culture, brèves de lecture, 1er juillet 2023 (lien).
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Sud Ouest, Avril Bénard et l’art de nommer les choses, par Olivier Darrioumerle, 28 mai 2023 (lien) :
« Camus écrivait : mal nommer un objet, c’est ajouter au malheur de ce monde. L’art de la justesse d’Avril Bénard donne à entendre l’élégance des choses… »
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Demain TV, émission « Tambour Battant », 5 mai 2023 (lien) :
« C’est une manière au fond, de nous interroger, sur ce qui est essentiel dans notre existence. »
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Paris Match, Les temps incertains, par Caroline Mangez (5 mai 2023):
« Voilà un premier roman qui brille d’une patine intemporelle. « À ceux qui ont tout perdu » apparaît comme une révélation… ».
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Bastille magazine, par Isabelle Lortholary et Alexandre Isard (n° de mai 2023).
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La Cause Littéraire, par Marjorie Rafécas-Poeydomenge, 14 avril 2023 (lien) :
« Ce roman divinement écrit est un puissant remède contre les fausses jouissances.
A lire absolument pour jouir de l’essentiel. »
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CNews, émission « L’heure des livres » d’Anne Fulda, 12 avril 2023 (lien):
« Un très beau livre, à la maturité très surprenante pour un premier roman, dépouillé, poétique, plein d’émotions. »
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TV Tours, recension de David Goulois du 5 avril 2023 (lien).
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Revue des Deux Mondes, par Lucien d’Azay (n° de mars 2023) :
« Cette simultanéité et la description à la fois délicate et impitoyable d’un assortiment aussi varié de personnages évoquent Les Gens de Dublin de James Joyce… »
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France Inter, émission « Déjà debout » de Mathilde Munos, 21 février 2023 (lien).
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La Croix, La dernière heure avant l’exil, par Ayyam Sureau, 13 février 2023. (lien) :
« Qu’est-ce qui est nécessaire ? Des vêtements chauds, de l’eau, des vivres, un couteau suisse. C’est ce qu’on emporte lorsqu’on part pour revenir. Mais lorsqu’on part pour nulle part ? On emporte alors un bout de soi. »
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Europe 1, émission « C’est arrivé demain » de Frédéric Taddeï, 5 février 2023 (lien).
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RCF, « Le coup de cœur de mon libraire », par Béatrice Ferrari, 1 février 2023 (lien) :
« Un texte très concis, dense, émouvant. »